Entre la moelle et l'écorce
"Between pith and bark" in French
Pour l'homme dans ma vie, dont le bois préféré est jarrah.
Entre la moelle et les mensonges d'écorce en bois. C'est la substance dure et fibreuse qui conduit l'eau et tient les tissus de stockage des branches, des tiges, et des racines des arbres. Le bois a deux parts : aubier -- la partie externe qui est à côté de l'écorce et est la vie et le bois physiologiquement actif, pâlissez en couleurs -- et duramen, le noyau intérieur foncé. Le duramen exécute la fonction du soutien de l'arbre et est plus sec que l'aubier. Pendant que l'arbre vieillit, le duramen s'élargit et s'élargit jusqu'à ce que l'arbre devienne la plupart du temps duramen à l'intérieur.
Du bois a été toujours sous-estimé, mais il est, en fait, au coeur de chaque structure humaine. Il est plus fort que beaucoup de métaux, et son intégrité est inviolée, même pendant qu'elle est remodelée, moulé, soumis à la chaleur et froid, et fonte sous l'ombre des visions de l'homme. Du bois est travaillé facilement avec des outils, y compris le feu, et se prête bien à la fabrication sans perdre ses qualités et identité. Il peut être coupé, découpé, gravé, blanchi, poli, enduit, rempli, foré, tourné, assemblé avec des goujons, joint, surfacé. Il peut résister à la compression ou se permettre d'être comprimé, résister se plier ou se permettre d'être plié. Il peut être imbibé des produits chimiques, ou il peut être coupé en placages ; ce peut être bois de construction entier, ou il peut être rectifié dans la poudre. Ce peut même devenir le feu, deviennent fumée. Mais il sera toujours en bois. Imaginez, les fibres de phase supportant silencieusement les éléments et soutenant le poids et la douleur des changements. D'abord un infinitésimal, gémissement moléculaire, s'ajustant, acceptant, obéissant, croyant, au plus grand et de plus grandes poussées et des cercles, jusqu'à en conclusion, le bois n'est pas ce qui il était par le passé, est au delà de ce qu'était par le passé il, mais toujours indéniablement, irrévocablement en bois.
Travailler avec du bois a fait partie d'activité humaine depuis l'aube du temps. Le bois a la civilisation de Fédéral, vêtu, abrité, et chauffé. Il a dû faire la guerre en tant que bateaux et comme carburant pour des moteurs de propulseur. Pendant le peactime, les bateaux bois-taillants ont transporté des millions de tonnes de productivité humaine, y compris le bois lui-même. Il a fourni la base pour des villes et a lié des îles ensemble. Il a même fileté le temps ensemble, a le temps tenu dans l'estime monumentale que la preuve existante la plus ancienne des luttes de l'homme et les passions sont ceux qui sont faites en bois, témoignages à une éternité de douleur et triomphe.
Il est étonnant comment quelque chose si pleine peut être comme malléable, presque liquide dans ses avantages. Aucun autre matériel n'a satisfait les autant de besoins et caprices d'humain ; aucun autre matériel n'est comme organique, comme antique et comme vivant. Pour cette raison du bois a été tissé dans la vie humaine tellement seamlessly et tellement inévitablement, le rendant omniprésent pourtant presque invisible, caché derrière l'écorce de la pratique, comme l'amour qui est le duramen de la sensibilité humaine. Comme mon amour qui s'est développé foncé et fort et inviolé, duramen qui s'est développé grand et large, enjambant des continents, au delà tout du gémissement, au delà de toute la douleur.
[Through Babelfish]
Pour l'homme dans ma vie, dont le bois préféré est jarrah.
Entre la moelle et les mensonges d'écorce en bois. C'est la substance dure et fibreuse qui conduit l'eau et tient les tissus de stockage des branches, des tiges, et des racines des arbres. Le bois a deux parts : aubier -- la partie externe qui est à côté de l'écorce et est la vie et le bois physiologiquement actif, pâlissez en couleurs -- et duramen, le noyau intérieur foncé. Le duramen exécute la fonction du soutien de l'arbre et est plus sec que l'aubier. Pendant que l'arbre vieillit, le duramen s'élargit et s'élargit jusqu'à ce que l'arbre devienne la plupart du temps duramen à l'intérieur.
Du bois a été toujours sous-estimé, mais il est, en fait, au coeur de chaque structure humaine. Il est plus fort que beaucoup de métaux, et son intégrité est inviolée, même pendant qu'elle est remodelée, moulé, soumis à la chaleur et froid, et fonte sous l'ombre des visions de l'homme. Du bois est travaillé facilement avec des outils, y compris le feu, et se prête bien à la fabrication sans perdre ses qualités et identité. Il peut être coupé, découpé, gravé, blanchi, poli, enduit, rempli, foré, tourné, assemblé avec des goujons, joint, surfacé. Il peut résister à la compression ou se permettre d'être comprimé, résister se plier ou se permettre d'être plié. Il peut être imbibé des produits chimiques, ou il peut être coupé en placages ; ce peut être bois de construction entier, ou il peut être rectifié dans la poudre. Ce peut même devenir le feu, deviennent fumée. Mais il sera toujours en bois. Imaginez, les fibres de phase supportant silencieusement les éléments et soutenant le poids et la douleur des changements. D'abord un infinitésimal, gémissement moléculaire, s'ajustant, acceptant, obéissant, croyant, au plus grand et de plus grandes poussées et des cercles, jusqu'à en conclusion, le bois n'est pas ce qui il était par le passé, est au delà de ce qu'était par le passé il, mais toujours indéniablement, irrévocablement en bois.
Travailler avec du bois a fait partie d'activité humaine depuis l'aube du temps. Le bois a la civilisation de Fédéral, vêtu, abrité, et chauffé. Il a dû faire la guerre en tant que bateaux et comme carburant pour des moteurs de propulseur. Pendant le peactime, les bateaux bois-taillants ont transporté des millions de tonnes de productivité humaine, y compris le bois lui-même. Il a fourni la base pour des villes et a lié des îles ensemble. Il a même fileté le temps ensemble, a le temps tenu dans l'estime monumentale que la preuve existante la plus ancienne des luttes de l'homme et les passions sont ceux qui sont faites en bois, témoignages à une éternité de douleur et triomphe.
Il est étonnant comment quelque chose si pleine peut être comme malléable, presque liquide dans ses avantages. Aucun autre matériel n'a satisfait les autant de besoins et caprices d'humain ; aucun autre matériel n'est comme organique, comme antique et comme vivant. Pour cette raison du bois a été tissé dans la vie humaine tellement seamlessly et tellement inévitablement, le rendant omniprésent pourtant presque invisible, caché derrière l'écorce de la pratique, comme l'amour qui est le duramen de la sensibilité humaine. Comme mon amour qui s'est développé foncé et fort et inviolé, duramen qui s'est développé grand et large, enjambant des continents, au delà tout du gémissement, au delà de toute la douleur.
[Through Babelfish]
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